Les élections du 26 mai 2019 constituent le point d’orgue des défis auxquels l’Europe est confrontée depuis le début de la crise financière, il y a 10 ans. Montée des nationalistes et chute des progressistes, repli identitaire, immigration, oppositions Est/Ouest ou Nord/Sud, poids de l’Allemagne, décalage entre institutions et citoyens, Brexit…La couverture éditoriale de l’Union européenne fait partie de l’ADN de notre journal. Pour suivre cette année politique particulière, nous avons donc décidé de renforcer encore notre équipe et de mobiliser la rédaction.

Un cinquième journaliste à Bruxelles

À l’aube de ce moment politique essentiel, nous avons donc fait le choix de renforcer l’équipe de Contexte Pouvoirs en recrutant un nouveau journaliste.

Pigiste chez Contexte depuis deux ans, Jean Comte rejoint, à plein temps, la rédaction du journal dans la capitale européenne, qui passe ainsi de 4 à 5 journalistes permanents. Journaliste depuis 2014, Jean Comte a collaboré avec le Bulletin Quotidien, l’Usine Nouvelle et le Figaro (voir sa bio).

Il travaillera en étroite collaboration avec toute l’équipe de Contexte Pouvoirs (à Paris Diane de Fortanier, Samuel Le Goff et Clémentine Forissier), pilotée dorénavant par Jean-Sébastien Lefebvre.

À Bruxelles, les journalistes de nos éditions Transports, Numérique et Énergie sont aussi engagés pour couvrir les mutations à venir au sein des institutions européennes et leurs impacts sectoriels : bilan des textes votés depuis cinq ans, analyse de ce qui reste à faire, ce qui se prépare, identification des personnalités politiques et des conseillers qui vont compter.

Toute l’info accessible au même endroit

Pour permettre aux lecteurs de saisir au mieux les changements majeurs qui vont structurer les cinq années à venir, Contexte a lancé son super-hub. Composition des listes, programmes, personnalités à suivre, coulisses, tout ce que vous devez savoir est disponible au même endroit.

Notre hub sera mis à jour quotidiennement tout au long de l’année. Et cela ne s’arrêtera pas le 26 mai, bien au contraire.

Après la recomposition du Parlement, les tractations autour de distribution des postes, de la nomination des nouveaux commissaires et de leurs équipes prolongeront la séquence européenne jusqu’à l’automne 2019, au minimum.

Pour anticiper dès maintenant ces bouleversements politiques, nous avons planché sur une infographie inédite : agréger les sondages issus des vingt-sept pays qui s’exprimeront en mai 2019 pour modéliser la physionomie du prochain Parlement. Les données sont mises à jour au fur et à mesure de la publication de nouvelles études d’opinion.